Le bruit ne fait pas de bien,
le bien ne fait pas de bruit...
Matthieu 12/19

Il n'y a pas de vrai bonheur sans certitude. Notre cœur en a besoin et nous le rappelle. Mais ce n'est pas dans ce monde qui rejette Dieu qu'on trouve les vrais certitudes. Ici bas, tout passe, tout est vanité.

On peut penser les posséder en s'adonnant à de nombreuses activités ; arrive alors un temps où, face au vide de notre cœur, qu'il n'existe pas de certitude en dehors de Dieu. C'est auprès de lui, par sa Parole, la bible, que l'on trouve et que l'on vit les certitudes qui apportent la paix et le bonheur.

Les connaissez-vous, y êtes-vous attachés ?
Vivez-vous chacune de ces réalités :

• Que le sang de Jésus purifie de tout péché (1 Jean 1/9),
  
• que le salut de notre âme est offert par grâce (Éphésiens 2/8),
  
• que vous êtes dans la vérité (1 Jean 3/18-19),
  
• que vous demeurez en Lui et Lui en vous (1 Jean 2/5 ; 3/1-2 et 24),
  
• que vous gardez ces commandements en l'aimant Lui et votre prochain (1 Jean 5/1-5),
  
• que votre vie progresse dans la sainteté (1 Jean 5/1-5 ; Hébreux 12/14),
  
• que Dieu écoute votre prière faites avec foi (1 Jean 5/14-15),
  
• que vous avez la guérison par ses meurtrissures (1 Pierre 2/24)
  
• que vous attendez le retour de Jésus (1 Jean 2/18 ; Matthieu 24/33) ?

Demeurez attachés aux choses que le Seigneur vous a apprises, et siquelqu'un s'en était éloigné, qu'il revienne à Jésus et lui demande pardon car "Il est fidèle et juste pour nous pardonner".
Ne vous privez pas de ce bonheur !

Paul rappelle à Timothée que l'église est "la maison de Dieu". La maison, à l'époque, désignaient l'ensemble de ceux qui vivaient et qui travaillaient pour le Maître de la maison. C'était la famille au sens large. Le terme "maison de Dieu" souligne la solennité des rassemblements chrétiens. L’Église appartient à Dieu, au Dieu vivant qui voit, entend parle et agit. C'est sa maison.

• "Jésus se l'est acquise par son propre sang" (Actes 20/28).
  
• Chaque chrétien est une âme donnée par le Père à Jésus (Jean 6/37) qui l'ajoute à l'église 'Actes 2/47). Chaque chrétien est là parce que Dieu l'a voulu.
  Nos âmes, autrefois étrangères, font maintenant partie de la maison de Dieu( Éphésiens 2/19).
  
• Ensemble nous formons "le corps de Jésus-Christ", dont Christ est la tête (Éphésiens 1/22). Quelle unité de vie entre Christ et chrétien !
  La prière y occupe une place prépondérante puisque l'église est aussi appelée "maison de prière" (Matthieu 21/13).
  
• Au moment de la Cène c'est Jésus qui nous invite "à sa table" (1 Corinthiens 10/21).

Il nous offre les bénédictions acquises pour nous à la croix et il attend de nous le renouvellement de notre promesse de consécration !
"La maison de Dieu est la colonne et l'appuie de la vérité" (v.15) : La Parole de Dieu est l'unique source d'enseignement et le seul guide pour la vie d'un chrétien. Ne l'oublions pas ! Nous comprenons pourquoi le Psaume 93/5 prophétisait : "La sainteté convient à la maison de Dieu pour la durée des temps", donc, encore pour aujourd'hui.
Chacun pour notre part, faisons en sorte que l'église porte bien son nom et bâtissons avec Lui, sa maison éternelle (1 Corinthiens 3/9)

Telle est la parole prononcée par Job, après les épreuves cruelles qui se sont abattues sur lui. Dans la même journée, ses immenses troupeaux avaient été enlevés par les tribus ennemies, ses serviteurs passés au fil de l’épée et tous ses enfants morts, écrasés sous les murs de leur maison qu’un vent violent avait fait s’écrouler. Job prononce ces mots alors même qu’il ignore l’accord qui a eu lieu entre Dieu et satan dans les lieux célestes (job 1/6-12).

Certaines de nos épreuves sont douloureuses à vivre et les forces semblent nous manquer pour les traverser ; mais n’oublions jamais que nous avons affaire à un monde spirituel et que notre combat se déroule d’abord dans le ciel. « satan vous a réclamés pour vous cribler comme le froment mais j’ai prié pour toi afin que ta foi ne défaille point » (Luc 22/31). Cette parole de Jésus, adressée à Pierre, correspond parfaitement au cas de Job. Nous sommes, quand à nous, parfois accablés de tous côtés et au sein de la fournaise de l’adversité. Tenons bon ! Dieu ne permettra jamais que nous soyons éprouvés au-delà du supportable (1 Corinthiens 10/13). « Il faut que l’épreuve accomplisse parfaitement son œuvre ».

L’important n’est pas l’épreuve en elle-même ni sa durée, mais ce que le Seigneur veut nous dire et nous enseigner. La bible nous dit que « Éternel parle tantôt d’une manière et tantôt d’une autre mais que l’on n’y prend point toujours garde » (Job 33/14).

Alors, soyons attentifs et sachons le reconnaitre dans les circonstances de nos vies. Jésus, notre rédempteur est vivant et il prie pour nous. Chassons toute crainte de nos cœurs et restons la paix car notre Sauveur a tout sous son contrôle !

A sept heure du soir, le père de Taro se rend en ville à bicyclette. Le visage crispé, il pédale de toutes ses
forces. Taro a été mordu par un serpent et les bons conseilles ne manquent pas : "compressions chaudes, poudre de serpent, remède magique d'Inari-san ou d'un autre dieu". Le médecin examine le petit garçon et constate que la jambe est fortement enflée, raide et chaude. Il ne peut rien faire pour empêcher le venin de voyager dans le petit corps. Tous craignent le pire en espérant que le sérum arrivera à temps.

Taro appelle alors sa maman pour lui dire que dans les réunions pour enfants auxquelles il assiste, on lui a appris que le vrai Dieu peut tout, qu'il entend les prières et nous guérit lorsque nous sommes malades : "Maman si on prie maintenant, Dieu nous écoutera". Prétextant qu'elle ne connaît pas ce Dieu là, elle va réveiller son mari pour venir au chevet de leur fils. Taro refait sa demande auprès de son père et lui propose de répéter après lui ce qu'il dira à ce Dieu qui guérit. Ensemble, ils joignent les mains, inclinent les têtes et prient : "Seigneur Jésus, je ne sais pas quoi te dire mais tu sais, mon petit garçon est malade et personne ne peut l'aider. Ainsi toi, fais ce que tu peux".

Le lendemain matin, le médecin ausculte l'enfant et constate la guérison. Le sérum n'est plus nécessaire ! Taro explique : "Je crois que Jésus est le chemin qui nous fait découvrir le Dieu vivant et vrai". Le médecin quitte la maison, impressionné. Au village, beaucoup s'intéressent au Dieu des chrétiens. Il n'y a pas de doute, Jésus a guéri Taro d'une manière merveilleuse. Taro et sa mère le disent et le redisent à qui veut l'entendre !

Verset plein de sagesse et de logique divine. Il ne viendrait à l’esprit de quiconque d’espérer bénéficier des avantages d’un objet en négligeant son entretien, comme par exemple son automobile. Ce verset nous parle, au travers d’une image, des diverses grâces et bienfaits que nous pouvons avoir en Jésus dans une vie conduite par lui. Que de drames lorsqu’on se laisse submerger par la pensée que rien ne peut marcher ! Si c’est votre cas, sachez que votre vie n’est pas vouée à l’échec car Dieu vous a créer pour connaître autre chose que la défaite. Il est vrai qu’à cause du péché, le vôtre ou celui de quelqu’un d’autre, vous avez peut-être un mauvais départ ; mais en ouvrant cœur à Jésus-Christ, tout peut changer ! Vous êtes précieux à ses yeux et il peut vous donner une vie épanouie, pleine de satisfaction, quelles que soit les circonstances.

Le fruit est un thème récurrent dans la Bible. Il résulte d’une action ou d’un choix. Si un homme prend soin de son verger et s’attend à y trouver de bons produits, à combien plus forte raison Dieu s’attend-il à trouver en celui qui se confie en lui, un résultat positif et agréable.

Donnez votre vie au divin « fruiticulteur » ! Prenez votre place dans son verger, et croyez avec une pleine assurance que toutes choses vont concourir à votre bien. Ensuite, faites votre part en prenant soin de vous-même selon son conseil et ses instructions ! Soyez patients ! La lecture régulière de la Parole de Dieu vous aidera à progresser et à découvrir le bon fruit que votre vie peut porter par la présence du Saint-Esprit agissant en vous : amour, paix, joie…(Galates 5/22).

Paul dit ici qu’il n’a pas honte de l’évangile et pourtant, avant de se convertir, il persécutait les chrétiens ; la Bible dit même qu’ « il respirait le meurtre et la menace contre les disciples du Seigneur ». Mais un jour, sur le chemin menant à Damas, il a une révélation puissante de la part de Jésus.

Il se convertit et devient alors l’un des plus grands défenseurs de la cause du Christ. C’est donc plein d’assurance qu’il déclare ici, aux chrétiens de Rome : « Je n’ai pas honte de l’évangile ».

Fort de la révélation qu’il a reçue, il ne se laisse en aucune façon intimidé par les chefs religieux de la Jérusalem d’alors ni par les païens instruits et influentes d’Éphèse, d’Athènes ou de Corinthe. Il ne se laisse dissuader ni par l’opposition, les critiques et les coups, ni par les emprisonnements ou le rejet. Paul est fier de son Sauveur, fier d’être compté parmi ses racheté et honorés d’avoir été choisi pour annoncer ce glorieux évangile du Salut accordé par grâce au moyen de la foi au fils de Dieu.

Avez-vous, comme Paul, fait une expérience de conversion susceptible de vous faire franchir les plus grands obstacles ? Savez-vous ce qui se passe si vous tracer un cercle au sol, autour d’une oie, avec une craie blanche ? Eh bien elle ne sortira pas du cercle par peur de franchir la marque.

Êtes-vous entouré de la ligne blanche de la religion, des préjugés, de la peur du qu’en dira-t-on, de votre « bonne » moralité ? N’en rester pas prisonnier, osez la franchir ouvrez votre cœur à la bonne nouvelle du Salut en Jésus ! Ce Salut est pour vous ! Acceptez-le, vivez-le, diffusez-le ! En un mot : N’ayez pas honte de l’évangile !

LUNDI 22 AVRIL 2013

Un livre à vivre !
2 Timothée 3/16

Tout le monde connaît Jean 3/16 : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique… » Mais connaissez-vous 2 Timothée 3/16 : "Toute écriture est inspiré de Dieu et utile pour enseigner pour convaincre…pour instruire dans la justice" ? Notre opinion des écritures est déterminante. Si nous croyants quelles sont vraiment inspirées de Dieu, il nous incombe de les prendre au sérieux au plus au point.
Dans le cas contraire, nous sommes les premiers perdants.
Comment résumer la bible en quelques mots ?
Voici quelques éléments de réponse :

• La Bible n’est pas un recueil de fables et de légendes subtilement inventées et mises ensemble au fil des siècles, complètement dépourvus de valeur pour la vie moderne.
  
• La Bible est une lettre d’amour et le verset Jean 3/16 en est le résumé : Dieu aime sa créature et à tout fait pour la ramener à Lui. Il a payé le prix suprême. En offrant son Fils, il ne pouvait offrir d’avantage. Cependant, il refuse de nous obligés à l’aimer et respecte notre libre choix pour ne pas fausser son plan. Il veut que nous l’aimions, de nous-mêmes, que nous le décidions librement, sans pression aucune.
  
• La Bible raconte ce que Dieu à fait, nous explique qui il est « selon ce que nous pouvons en saisir dans notre condition humaine » et nous prépare en vue de ce qu’il va faire : et nous avertit que son plan continu de se dérouler et que personne ne peut l’arrêter !
  
• La Bible exprime ce que Dieu veut faire pour l’homme, en Lui et avec Lui, pour son plus grand bonheur…

Ce livre est la parole même de Dieu. Prenons-le au sérieux, nourrisson-en notre âme et disons au Seigneur : Aide-moi à l’apprécier toujours d’avantage car « Ta parole est la vérité » (Jean 17/17 !)

On raconte qu’à l’époque où le communisme s’implanta en chine populaire, le tristement célèbre Mao Tsé-Toung, dictateur de son état, distribua à tout le peuple un petit livre rouge. Cet ouvrage vantait les mérites du communisme prôné par le « Grand timonier » (c’est ainsi quand appelé le dictateur). Chaque citoyen avait l’obligation de l’avoir sur lui en permanence et devait le brandir à bout de bras lors des grands rassemblements publics. Aujourd’hui, les historiens s’accordent pour dire que les doctrines enseignées dans ce petit livre firent de Mao le plus grand criminel de tout les temps, avec plus de 70 millions de morts à son actif.

Bien antérieurement à ce livre rouge, un autre ouvrage nous a été offert : la Bible. Porteur d’un message de vie et non de mort, ce best-seller est le socle de notre foi, le fondement même de la vie chrétienne. Chaque citoyen des cieux devrait le porter sur son cœur et le méditer en toutes circonstances afin de s’imprégner des enseignements de Jésus, seul et unique Sauveur : « Il n’y a de salut en aucun autre… » (Actes 4/12). Conscients de sa valeur, nous devrions nous aussi le brandir sans honte ni retenue à la face de ce monde désenchanter et hagard. Lui seul possède la solution aux problèmes de l’humanité, le remède face à tout les maux dont elle souffre.

Ainsi, disons-le sans détour, notre Livre, celui que nous chérissons par-dessus tout et dont nous aimons tourner les pages chaque matin, notre livre de chevet, c’est la Bible !

Salomon à demander à Dieu la sagesse pour gouverner le pays et Dieu lui à donnée (1 Rois 3/9 ; 4/29). Cette sagesse nous est communiquée dans le livre des proverbes qui commence ainsi : "Proverbes de Salomon... pour recevoir des leçons de bon sens.." (Proverbes 1/3).

C'est donc le bon sens divin qui nous est communiqué dans ce livre biblique ! Salomon va souvent souligner le danger de laisser un enfant faire ce qu'il veut. Que penseriez-vous d'un match de football qui se déroulerait sans arbitre ? Personne n'en serait heureux, ni les joueurs, ni les spectateurs : l'arbitre, les deux juges de touches, les coups de sifflet, les cartons jaunes et rouges... tout cela est indispensable au bon déroulement de ce match !

Certains adultes pensent aujourd'hui qu'il ne faut pas punir les enfants, que c'est contraire au bon développement de leur personnalité. La sagesse divine exprimée dans les Proverbes est à l'opposée de cette façon de voir et affirme : "les punitions et les réprimandes donnent du bon sens". En effet, elles permettent à l'enfant de découvrir ce qui est mauvais pour sa vie, d'ouvrir les yeux sur le péché, le mal, ce qui est désagréable à Dieu, et d'avoir l'envie et la satisfaction de réussir. Ainsi élevé selon les conseils de Dieu, l'enfant, quand il sera grand, bénira ses parents de lui avoir communiqué le bon sens divin.

C'est donc dès le plus jeune âge qu'il faut commencer à le discipliner afin que ce bon sens soit profondément ancré dans sa vie ; sinon, comme le dit Salomon, la honte des échecs de l'enfant retombera sur la maman et le papa qui n'auront pas obéi au conseil de Dieu !

Le mot jubilé vient du latin jubilare, "se réjouir" ; c'est ce mot que Jérôme a utiliser pour parler du cor en corne de chèvre pour annoncer le début d'une année spéciale, tous les cinquante ans.

"Tu compteras... sept fois sept ans... Le jour des Expiations, vous sonnerez de la trompe dans tout le pays. Vous déclarerez sainte cette cinquantième année... Ce sera pour vous in jubilé..." (Lévitique 25/8-13). L'une des caractéristiques de cette fête était la libération de tous les esclaves. Ce jour des Expiations où la corne allait retentir, était attendu avec un immense espoir car il marquait l'entrée dans une année de grâce. C'est cette année de grâce que Jésus est venu proclamer : "L’Esprit du Seigneur est sur moi parce qu'il m'a oint... pour renvoyer libre les opprimés, pour proclamer une année de grâce du Seigneur" (Luc 4/18-19). e que Jésus déclare ici n'est autre chose que ce que le prophète Ésaïe avait annoncé (Ésaïe 61/1-2).

Par Jésus et au travers de son œuvre à la croix nous sommes appelés à entrer dans ce jubilé. Christ est venu nous affranchir du péché (Romains 8/2) mais il est également venu nous affranchir des exigences de la loi religieuse : "C'est pour la liberté que Christ nous a affranchis... ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude" (Galates 5/1). Tous croyant qui vit encore sous un esclavage concernant aussi bien la chair que des dispositions légales religieuses, n'a pas encore entendu le son du cor qui a pourtant retentit le jour où Christ est mort sur la croix.

Si cela est votre cas, si vous vous trouvez encore asservi à quelqu'un ou à quelque chose, entrez dans ce jubilé que Jésus est venu proclamer et laissez-vous affranchir par sa grâce : "Si donc le Fils vous affranchis, vous serez réellement libres" (Jean 8/36).

Combien de gens seraient prêts à payer très cher pour connaître la véritable paix du cœur ! Si elle se vendait au magasin, on se retrouverait vite en rupture de stock.

Nous vivons dans un pays où la consommation d'antidépresseur n'a jamais été aussi importante. Il n'est donc pas étonnant que toute la Bible insiste sur la nécessité de faire une rencontre personnelle avec celui qui est appelé le "Prince de la paix" (Esaie 9/5). Notre verset de base présente cependant une indication précieuse pour non seulement goûter à la paix véritable, mais surtout la conserver : notre attitude face à la Parole de Dieu et ses enseignements.

Le roi Saül n'a eu de cesse d piétiner les conseils que Dieu lui donnait par la bouche de Samuel et il ne pourra constater, à la fin de son règne :"Je suis dans un grande détresse... Dieu s'est retiré de moi" (1 Samuel 28/15).

Le roi Hérode, pour des raisons de popularité, n'a pas tenu compte du conseil de Jean Baptiste : "Il ne t’es pas permis d'avoir la femme de ton frère" ; et quelque temps plus tard, après l'avoir fait décapiter, il aura cette réaction surprenante et apeurée en entendant parler de Jésus : "ce Jésus, c'est Jean Baptiste qui est ressuscité des morts" (Matthieu 14/1-2) !

Le roi Achab était prêt à écouter le conseil de Dieu, mais uniquement quand celui ci lui disait ce qu'il avait envie d'entendre (1 Roi 22) !
Dieu nous a laissé ces instructions et ses conseils dans la Bible : Mettons-les en pratique (Jacques 1/22), écrivons-les sur notre coeur car c'est là que se trouve la source véritable de note paix.

Quelle chose étonnante ! Dieu a-t-il besoin de se repentir ? D'autres versions traduisent : "Dieu renonça", "Dieu revint sur sa décision".
Ninive était l'une des plus importantes ville de l'antiquité (actuellement la région de Mossoul en Irak). Le péché de ses habitants était arrivé à un tel niveau que Dieu décida, malgré sa patience extrême, de détruire la ville entière. Cependant, avant cette intervention terrible, il voulut avertir la population car Dieu ne souhaite pas la mort du pécheur mais sa repentance. Il envoya donc Jonas annoncer la destruction de la ville "Dans 40 jours". Les gens de Ninive s'humilièrent de leurs péchés, crièrent à Dieu de toutes leurs forces et le roi ordonna : "Que chacun abandonne sa mauvaise conduite e les actes de violence qu'il commet". C'est devant ces fruits de repentances, que Dieu alors changea d'avis et "renonça" a détruire la ville.

La Bible dit que nous sommes tous pécheurs face à sa sainteté et que nous méritons la perdition éternelle. Pour un seul péché Adam et Eve furent chassés du jardin d'Eden. Qui d'entre nous oseraient dire qu'il n'a commis un seul péché ? La Bible cependant ne s'arrête pas à ce constat terrible ; bien au contraire, elle nous propose un chemin de salut, un chemin sur lequel nous pourrons reconnaître notre péché et exprimer notre sincérité par des actes (dignes de la repentance). Ce chemin, c'est Jésus-Christ, mort sur la croix à notre place en ayant prit sur lui les péchés de l’humanité la grâce nous est offerte, les portes du ciel nous sont ouvertes et Dieu attend que nous lui donnions notre vie.

Qu'allez vous décider ? Qui que vous soyez, ses bras vous sont ouverts ; mais ne tardez pas, car c'est seulement ici bas que nous pouvons prendre cette décision.

Certaines traductions l'expriment ainsi : "Mieux vaut vivre à deux que solitaire" (Crampon) ou bien : "Deux hommes associés valent mieux qu'un seul" (Semeur) ou encore "Il vaut mieux être deux qu'isolé" (Bible Pirot Clamer).

Peut-on parler d'isolement, de solitude... alors que que nous avons dépassé en octobre 2011 les sept milliards d'habitants sur terre ?
Qui ne s'est jamais senti seul, abandonné, perdu ? Nous pensons à toutes ces personnes âgées qui ne reçoivent plus de visites, à ces malades seuls face à leurs souffrances, à ces personnes isolées au milieu de leurs détresses pour les unes au milieu de l'abondance pour les autres !

La solitude ? La navigatrice Florence Arthaud nous en parlait dans les journaux après cette heure et demie passée seule, perdue dans la Grande Bleue en pleine nuit ! "Je suis miraculée" disait-elle, ayant pu appeler sa famille avec son téléphone étanche acheté quelques jours auparavant, ce qui lui a ainsi permis d'être secourue !
Oui, deux valent mieux, qu'un, car seul, on ne peut se sauver !

Chacune de nos vies ne tient qu'à un fil, non pas à "un coup de fil" mais à un cri sincère tel que l'exprime le Psaume 102 : "Éternel, écoute ma prière et que mon cri parvienne jusqu'à toi !..." Le Psaume 34 déclare : "Quand un malheureux crie, l'Éternel entend, il le sauve de toutes ses détresses" et Paul proclame : "Quiconque invoquera le Seigneur sera sauvé" (Romains 10/13). Oui, deux valent mieux qu'un ! Alors, quittez votre solitude et tournez-vous vers Dieu. Son désir est de vous sauver et d'être votre compagnon de route afin que vous ne soyez plus jamais seul(e) !

"Voici, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde" (Matthieu 28/20).

Ce voile avait été mis en place sur une ordonnance du Dieu très Saint car l'homme pécheur ne pouvait se tenir devant sa Sainteté. Ce voile ne pouvait être franchi que par le Souverain Sacrificateur, une fois l'an, le jour du grand pardon.

Ce texte nous remet en mémoire, qu'au jour glorieux du pardon que Dieu nous a accordé en vertu de l’œuvre de Christ à la croix, c’est lui même qui a déchiré le voile depuis le haut jusqu'en bas ! N'est-ce pas là la plus grande preuve d'amour et de réconciliation ? En Christ l’obstacle est levé, et Paul pourra dire : "lorsque les cœurs se convertissent au Seigneur, le voile est ôté" (2 Corinthiens 3/16). En effet, le voile de l'incompréhension qui empêchait de saisir le message de grâce de la Parole de Dieu ayant disparut, nous avons maintenant toute liberté de pénétrer avec Jésus, notre Souverain Sacrificateur, dans l'intimité divine et les plans parfaits que Dieu nous a préparés. N'est-ce pas un merveilleux privilège d'avoir Christ en nous et de pouvoir demeurer ainsi, chaque instant, dans la présence vivifiante de Dieu ?

Un danger cependant existe, celui de recoudre nous-mêmes le voile qui fut si chèrement déchiré par Dieu. Le péché caché dans nos cœurs, l'incrédulité qui amène le légalisme religieux, la préférence pour les choses profanes, sont autant de choses qui remettent en place dans nos vies un voile terriblement solide empêchant de nouveau l'accès à Dieu. Pour éviter ce problème, la seule chose efficace est de revenir à lui dans la foi, la repentance et une consécration restaurée ! Comme Asaph qui avait pénétré dans le sanctuaire de Dieu, puissions-nous toujours dire : "Pour moi m'approcher de Dieu, c'est mon bien" (Psaumes 73/17-28) !

Dans la description du temple de Salomon nous découvrons certain détails forts de sens et très enrichissants pour notre instruction spirituelle.
Notons tout d'abord que l'intérieur du temple offrait à la vue "des sculptures de coloquintes et fleurs épanouies". Cette beauté évoque la vie intérieure épanouie de celui dont le corps est le temple de Dieu (1 Corinthiens 6/19) et qui à été l'objet de la bienfaisante grâce d'un printemps spirituel.

Notons ensuite que la description du temple indique que "le roi fit des fenêtres solidement grillées" pour sa protection (1 Roi 6/4). Les écritures enseignent par ailleurs que le cœur de la bien aimée est comme un beau jardin accessible a celui qui l aime (Cantique 5/1), mais qui doit être fermée aux agressions du monde (Cantique 4/12).

Dans la Bible, nous constatons que beaucoup de détresses sont le résultats de regard mal orientées. Ce fut le cas d'Ève (Genèse 3/6), de la femme de Lot, du roi David, et dix espions envoyés en Canaan. Rappelons nous que satan, appelé le prince de la puissance de l'air, a su présenter en un instant aux yeux du fils de Dieu, tous les royaumes de la terre et ce bien avant l'apparition de la télévision et de tous les moyens de communication modernes.

Que nos yeux, fenêtres de l’âme, soient donc solidement grillagés et disciplinés . "Veillez avec soin sur votre conduite" si nous voulons que notre printemps spirituel de;eure et donne envie a tous ceux qui nous entourent et nous voient vivre. N'est il pas vrai que ce sont les fleurs épanouies qui sont les plus belles ?

Avez-vous compris la volonté de Dieu, son amour, sa puissance ? Sa parole vous rappelle qu'il est le Tout-Puissant et qu'il peut triompher de tout. Bien sûr, la vie est un combat et pendant la traversée votre barque est souvent ballottée par l'agitation de ce monde, par la tempête qui souffle dans nos cœurs, par les questions qui se bousculent quant au sens de l'existence. Les vents sont contraires : douleurs, maladies, épreuves, incompréhension ; vous avez alors de la peine à ramer, à vous en sortir tout seul, à résoudre vos problèmes ! Jésus est l'espoir du monde, votre espoir, il vient. Il apparaît d'abord seul la terre, immuable dans son amour, sa sagesse, sa puissance, ferme, solide, lui le Rocher des siècles qui a donné sa vie sur la croix. Il marche sur la mer, il domine les éléments, il est plus fort que nos angoisses, que notre perdition, que nos chaînes, que la maladie. Il vient vers vous aujourd'hui pour vous montrer le chemin et vous ouvrir la route.

À vous aussi qui, comme les disciples, êtes peut-être incapable de le reconnaître, il dit : "Rassurez-vous, c'est moi, n'ayez pas peur !". Sa Parole est vivante, puissante, agissante. Laissez Jésus monter dans votre barque ! Laissez-le prendre en main le gouvernail de votre vie ! Permettez-lui d'accomplir un miracle pour vous maintenant !

"Le vent cessa". Il peut ramener le calme dans votre cœur, changer les circonstances de votre vie et surtout, à cause de sa victoire à la Croix, de sa résurrection, détournez de vous la condamnation, conséquence du péché.
Que votre cœur ne soit pas endurci ! Repentez-vous, obéissez à sa voix, engagez-vous avec lui, vous ne le regretterez jamais !

Véritable chef-d’œuvre, la main de l'homme possède une force musculaire considérable, capable de soutenir tout le poids du corps humain... comme nous l'ont montré les prouesses que nous faisions sur la barre-fixe dans notre jeunesse ! Elle est souvent remplacée par des machines, mais elle demeure néanmoins l'instrument irremplaçable dans bien des domaines et pour bien des professionnels, comme le chirurgien, l'artiste peintre, le musicien...

Nos mains peuvent parfois faire des merveilles de virtuosité, d'adresse, de précision, mais elles restent bien limitées, comparées à celles du Seigneur qui demeurent encore aujourd'hui :

• des mains qui guérissent : "Jésus avança la main sur cet homme et le guérit"
• des mains qui bénissent : "Jésus prit les petits enfants dans ses bras, il les bénit en leur imposant les mains"
• des mains qui délivrent : "Jésus imposa les mains à cette femme courbée qui ne pouvait aucunement se redresser et elle se redressa"
• des mains qui ont témoigné de son amour pour nous : "Jésus leur montra ses mains (qui ont été transpercées) et sont côté (percé). Jésus dit à Thomas "Regarde mes mains" puis il ajouta : "Avance aussi ta main". Jésus l'invitait à constater qu'Il était bien ressuscité !

Aujourd'hui encore, il vous invite à mettre votre main dans la sienne pour que vous constatiez à votre tour que la confiance que vous lui aurez accordée ne sera pas déçue.
Chassez le doute, rejetez l'incrédulité et croyez que vous serez en sécurité auprès de lui car il a assuré que "Personne ne vous ravira de sa main" (Jean 10/28).